Et non, ce n’est pas le deuxième effets kiskool. C’est l’hiver. On a tous une pensée pour les sans abris.
A mantet, on a aussi une pensée pour les animaux qui n’ont ni terrier, ni maison. Par -15 alors que les montants des fenêtres gèlent à l’intérieur, on s’inquiète des bêtes.
Heureusement Mathieu à travailler dur pour combler le moindre trou et et l’imperméabiliser. C’est pas très joli mais c’est provisoire et surtout efficace.